Mission 2025 de préservation du Bassin du Congo

Définition de la mission

Afin d’amorcer la mise en œuvre de son objet, l’Association de Sensibilisation Sanitaire aux Événements Climatiques (ASSEC 28), lance une mission de terrain dans le Bassin du Congo au cours du premier semestre de l’année 2025.

Cette mission a pour but essentiel d’informer le plus largement possible la population locale sur les risques du réchauffement climatique. Avec le soucis de rendre accessible ces informations pour qu’elles puissent être facilement assimilées et intégrées à la vie quotidienne.

Cette mission devra être envisagée, conduite dans un cadre global. Elle devra associer les acteurs locaux, qu’ils soient bénévoles, professionnels, ou encore les pouvoirs publics, sans oublier les entreprises. Ces différents acteurs ne peuvent ignorer aujourd’hui les conséquences du réchauffement climatique et se doivent ainsi d’œuvrer pour les enjeux d’une transition écologique solidaire et une économie sociale solidaire.

Sa vision

Au préalable, il s’agit de diagnostiquer les impacts du réchauffements climatique sur le Bassin du Congo, deuxième poumon de la Planète, après l’Amazonie.

Les conséquences du réchauffement climatiques de nos jours, prennent de plus de l’ampleur dans leurs manifestation, et de surcroît sur n’importe quelle partie de la Planète.

Face à cette menace, la vision de l’ASSEC-ASSO28 consiste à développer, et faire développer des capacités d’action au sein de structures qui agiront face aux grands défis climatiques, écologiques et solidaires. Pour permettre de définir les choix d’orientation et d’action, il est nécessaire de provoquer et accompagner ces choix en tenant compte des réalités sur le terrain.

Ramassage des déchets par un employé d’une entreprise privée – Kinshasa – ASSEC – Février 2024

Les actions et les moyens

L’action de sensibilisation aux événements climatiques que l’association compte mener dans le Bassin du Congo repose sur trois axes.

  • Permettre à un maximum de personnes à s’engager professionnellement dans des associations, corps de métiers ou entreprises avec une vision portant sur une transition écologique. L’école, les formations professionnelles, constitueront le socle de savoirs théoriques et pratiques sur les enjeux climatiques et écologiques et de solidarité, permettant une meilleure évolution de politique publiques. Cela ne peut être possible sans cadre institutionnel et juridique.
  • Informer au plus haut niveau les dirigeants des entreprises et les salariés, ou les institutions classiques afin de permettre une intégration et évolution adaptée aux enjeux de la transition climatique.
  • Enfin, permettre à un maximum de personnes d’entreprendre, de créer leur propre initiative, afin d’être utile et participer à un monde meilleur. En d’autres termes, former les artisans de la transition qui prennent le relais des scientifiques.

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